Climate Change: from Vulnerability Assessment to Actual Adaptation

Session Organizers: Johanna Wandel, Carrie Mitchell, and Katherine Laycock

Climate change vulnerability assessments have been undertaken in diverse contexts, using multiple methods, for a number of purposes, with various outcomes. Contextual vulnerability assessments (alternately referred to as bottom-up, vulnerability as starting point, and community-based vulnerability assessments) often offer rich narratives of how human communities are exposed and sensitive to various climate and non-climate stressors, and insights into existing adaptive capacities. However, these approaches to vulnerability assessment also have a number of drawbacks, including difficulties speaking beyond the case study and issues of replicability due to the highly subjective nature of interpretation. Indicator-driven vulnerability assessments (also referred to as top-down and vulnerability as outcome assessments) are generally scalable and, depending on the indicators used, more easily replicable. Indicator-driven vulnerability assessments have been critiqued for insufficiently capturing the process of adaptation, including only what can be measured or for which data can readily be collected, and difficult to aggregate. It is our position that there is no “right” way to assess vulnerability, but existing vulnerability assessments, regardless of the conceptual lens, do not necessarily lead from vulnerability assessment to actual adaptation.

This session poses the question: how do we move from assessing vulnerability to fostering adaptation (or, alternately, vulnerability reduction). We welcome papers using a diverse range of methodological approaches that address this issue, with particular emphasis on one or more of:

  • The role of stakeholders in designing the assessment / ensuring its relevance
  • Evaluations of salience of vulnerability assessments
  • Development of tools to plan for, evaluate or prioritize adaptation
  • Practitioners’ data needs with respect to vulnerability assessment and/or adaptation

Please send abstracts of papers to Katherine Laycock (klaycock@uwaterloo.ca)

 

Les changements climatiques :de l’évaluation de la vulnérabilité à l’adaptation réelle

Congrès 2015 de l’Association canadienne des géographes, Université Simon Fraser, 1-5 juin 2015

Organisatrices de la séance : Johanna Wandel, Carrie Mitchell et Katherine Laycock

Des évaluations de la vulnérabilité des changements climatiques ont été réalisées dans différents contextes, en tirant parti de plusieurs méthodes, en visant un certain nombre d’objectifs, et en donnant divers résultats. Les évaluations de la vulnérabilité contextuelle (que l’on désigne parfois par les formules approche ascendante, vulnérabilité comme point de départ, et évaluations communautaires de la vulnérabilité) fournissent, d’une part, des récits très denses sur la manière dont les communautés humaines sont exposées et sensibles aux différents facteurs de stress climatiques et non climatiques et, d’autre part, des informations au sujet de leurs capacités d’adaptation actuelles. Cependant, ces méthodes d’évaluation de la vulnérabilité comportent également un certain nombre d’inconvénients, y compris les obstacles pour dépasser le niveau de l’étude de cas et les enjeux de la reproductibilité découlant de la nature hautement subjective de l’interprétation. Les évaluations de la vulnérabilité fondées sur des indicateurs (que l’on désigne aussi par les formules approche descendante, et vulnérabilité en tant qu’évaluations de résultats) peuvent de manière générale être extensibles et, selon les indicateurs utilisés, plus simples à reproduire. Les évaluations de la vulnérabilité fondées sur des indicateurs ont été critiquées en raison du manque de capacité à cerner le processus d’adaptation, lequel tient compte uniquement de ce qui peut être mesuré et obtenu par des collectes de données faciles à réaliser mais difficiles à agréger. La position que nous défendons est qu’il n’existe pas de « bonne » façon d’évaluer la vulnérabilité, mais que les évaluations de la vulnérabilité existantes, quel que soit la perspective conceptuelle, ne conduisent pas nécessairement de l’évaluation de la vulnérabilité à l’adaptation réelle.

Cette séance est l’occasion de soulever la question suivante : comment pouvons-nous passer du stade de l’évaluation de la vulnérabilité à celui de favoriser l’adaptation (ou, selon une autre formule, la réduction de la vulnérabilité). Nous sollicitons des communications qui reposent sur un large éventail d’approches méthodologiques et traitent de cette question, et qui mettent l’accent sur l’un ou l’autre des sujets d’intérêt suivants :

  • Le rôle des parties prenantes dans la conception de l’évaluation / l’établissement de sa pertinence
  • Les évaluations des points saillants des évaluations de la vulnérabilité
  • L’élaboration d’outils pour planifier, évaluer ou prioriser l’adaptation
  • Les besoins en données des praticiens en matière d’évaluation de la vulnérabilité et/ou d’adaptation

Veuillez s’il vous plaît faire parvenir un résumé de votre communication à l’attention de Katherine Laycock (klaycock@uwaterloo.ca)